Il est venu en Corse en décembre dernier. C’était le 15. Une journée lumineuse au cœur de l’hiver, baignée de ferveur populaire et d’émotion simple. Quelques mois plus tard, le pape François s’est éteint à Rome, refermant un pontificat marqué par l’attention aux marges, aux oubliés, aux périphéries. Et en Corse, cette visite résonne désormais comme un testament spirituel.
Une parenthèse pleine de sens