L’affaire de la statuette vendue à Londres comme « une stèle mégalithique de l’âge de bronze corse » en fin de semaine dernière, et rapidement identifiée comme n’étant qu’une copie, est venue remettre en lumière la problématique des faux artefacts archéologiques qui circulent sur le marché de l’art. Un phénomène, couplé à une recrudescence des pillages, qui vient impacter la préservation des biens culturels.
